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Marten Lou électrise l'Atrium du Casino de Monte-Carlo

Mis à jour le 18 Avril 2025

Le 11 avril dernier, l'Atrium du Casino de Monte-Carlo s'est offert une parenthèse électro mémorable. Aux platines, le talentueux Marten Lou a transformé ce haut lieu du glamour en dancefloor vibrant. Une soirée où musique et fête se sont entremêlées avec éclat.

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Quelques jours seulement après la réouverture du Jimmy’z Monte-Carlo, Marten Lou a donné l’impulsion d’une saison résolument axée électro. Vendredi 11 avril, le Casino de Monte-Carlo s’est transformé en un gigantesque dancefloor. Aux platines, le DJ a fait vibrer la verrière de l’atrium. Reconnu pour être l’un des compositeurs et producteurs émergents les plus remarqués de la scène deep et melodic house, on lui doit notamment le titre « My Love for you » qui a fait des millions de streams.  

Trois cent cinquante invités se sont retrouvés pour une première partie de soirée clubbing. Parmi eux : quelques équipes de Monte-Carlo Société des Bains de Mer, des clients du Resort, mais aussi des représentants de Jutheau Husson, du Crédit Foncier de Monaco Indosuez et de la Maison de joaillerie Maria Battaglia, tous trois partenaires sponsors. Et à 23 heures, tout le monde était convié à poursuivre la fête au Jimmy’z Monte-Carlo pour rejoindre les clients du club et prolonger la soirée avec le même Marten Lou.

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Flash-back. Il y a 43 ans, ce même atrium du Casino de Monte-Carlo était la scène d’un tout autre spectacle chorégraphique. Celui de Sean Connery en smoking et Kim Bassinger en robe longue pailleté blanche, alias James Bond 007 et Domino, dans un impeccable tango pour le film « Jamais plus jamais ». Autour d’eux, musiciens en costume noir et tables rondes ornées de longues nappes blanches où sont installés tout ce que la société peut faire de mieux dans la catégorie des gens bien comme il faut. 

Replongez dans l’intensité du moment en cliquant ici.

Décidément, le Casino de Monte-Carlo n’en finit pas de séduire les artistes quels que soient leur style et l’époque. C’est d’ailleurs là tout son attrait. La scène de la salle Garnier elle-même en a vu de toutes les couleurs depuis l’époque des Ballets Russes de Serge de Diaghilev et du tant décrié Sacre du Printemps devenu pièce maîtresse de l’histoire de la danse.

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