Publié le Octobre 22, 2020Mis à jour le Juin 19, 2023
Il y a tant de raisons d'aimer Monaco.
Une terre d’exception où tout est possible. Où la chance vient à la rencontre de celles et ceux qui lui sourient. Sous le soleil méditerranéen, les expériences et les témoignages se multiplient... Jean-Christophe Maillot, Directeur et chorégraphe des Ballets de Monte-Carlo, partage avec nous son amour pour la Principauté.
Let's fall in love with Monte-Carlo !
Jean-Christophe Maillot : A Monaco, l'humain est toujours au coeur de la relation. C’est pour cela à mon sens que, dans ce pays de deux kilomètres carrés, l’art et la culture voient le jour d’une manière si différente. Les Princes de Monaco, et en particulier la Princesse Caroline, ont toujours fait confiance aux artistes. Ils nous offrent du temps pour développer une vision à long terme, pour faire les choses autrement. Pour moi, c’est cela le véritable luxe à Monaco et c’est la raison pour laquelle Les Ballets de Monte-Carlo ont su se forger une identité propre.
J-C.M : Casse-Noisette Circus, ballet que j’ai créé en 1999. Les conditions de présentation de cette pièce étaient inédites. Nous nous sommes produits sous le chapiteau de Fontvieille avec l’Orchestre Philharmonique, à l’occasion du Jubilé du Prince Rainier III. Le succès de ce spectacle m’a d’autant plus touché que le public connaissait encore peu mon travail. C’est à partir de ce ballet qu’une longue histoire a commencé à s’écrire entre lui et moi.
J-C.M : Surprenant.
Bruno Mantovani, directeur artistique du festival, déroule un nouveau voyage au sein du répertoire classique sur le thème « Ma fin est mon commencement », en lien avec les autres arts et sens.
Co-Responsable de la gestion actions pour le groupe Edmond de Rothschild, et gestionnaire du fond thématique « Big Data »,
Jacques-Aurélien Marcireau fait le point sur l’IA, souvent fantasmée.
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